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La veille collaborative à l’épreuve du réel : retours d’expériences et leçons apprises

CORINNE DUPIN, consultante du cabinet Ourouk
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Créé le
mardi 17 juin 2025
149
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veille collaborative | professionnel de l'information
La veille collaborative à l’épreuve du réel : retours ... Image 1
La veille collaborative à l’épreuve du réel : retours ... Image 1

Tel est le titre de la matinée d’étude organisée et animée conjointement par l’ADBS et le CNAM/INTD le 2 avril dernier. Invitée à y cadrer le sujet (polysémique) de la veille collaborative, je propose ici une restitution sélective des interventions entendues ce jour-là, complétée par ma propre expérience de praticienne et de consultante amenée à accompagner ou observer la mise en place de tels dispositifs depuis une quinzaine d’années.

Le sujet de la veille collaborative revient à peu près tous les dix à quinze ans justement sur la table : il suscite l’intérêt à un rythme régulier, porteur qu’il est d’un idéal exigeant et de la promesse de synergies et de « désilotage » dans les organisations, mais il faut bien reconnaître que ce type de démarche rencontre plus souvent ses limites que son public, comme l’a énoncé avec justesse Thomas Grignon (1) dans son discours introductif.

Le premier enseignement de cette matinée est que les professionnels de l’information ont une définition extensive de la veille collaborative, dont ils font une activité de surveillance mobilisant un collectif. Cette définition large n’est pas la mienne. Que la veille soit une activité requérant plusieurs forces vives est une évidence. La qualifier de collaborative introduit à mon sens le fait de distribuer l’effort de veille auprès d’un ensemble de contributeurs au nombre desquels figurent nécessairement des acteurs métiers, habituellement simples destinataires de la veille, désormais contributeurs actifs.

Reconnaissons qu’il n’est pas aisé de proposer de la veille collaborative une définition consensuelle compte tenu de la diversité des formes qu’elle peut prendre dans des configurations très variables, des « 1001 visages » qu’elle offre.

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Trois métiers, une vision : Serda-Archimag face aux enjeux de l’IA générative

Christel RONSIN
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436
Créé le
mardi 17 juin 2025
107
Tags
IA | presse en ligne | professionnel de l'information
Trois métiers, une vision : Serda-Archimag face aux enjeux ... Image 1
Trois métiers, une vision : Serda-Archimag face aux enjeux ... Image 1
Interview de Louise Guerre, Co-Présidente du Groupe Serda-Archimag. Interview menée par Christel Ronsin

Nous avons souhaité interroger Louise Guerre afin de recueillir son témoignage sur la mise en place et l’utilisation de l’intelligence artificielle générative au sein d’une société spécialisée dans le management de l’information.

Louise Guerre est, avec Pierre Fuseau, dirigeante du groupe Serda-Archimag depuis sa création en 1985. Elle est également responsable mécénat et laboratoire des curiosités de l’association Étincelle, qui accompagne les jeunes décrocheurs. Avant cette date, Louise Guerre a présidé durant deux ans le Centre des Jeunes Dirigeants d’Entreprise (CJD), qui est le plus ancien mouvement patronal. Elle a également passé cinq ans au conseil d’administration d’Action contre la Faim.

CHRISTEL RONSIN : Louise, pouvez-vous nous expliquer comment l’intelligence artificielle générative (IAG) a été intégrée au sein du groupe Serda-Archimag ?

LOUISE GUERRE : Bien que l’Intelligence artificielle ait une histoire de plus de 50 ans, c’est avec l’arrivée des IAG en 2023 que nous avons observé un nouvel engouement pour cette technologie. J’ai alors immédiatement lancé un groupe de travail sur l'intelligence artificielle générative pour examiner son impact potentiel sur nos activités. En novembre 2023, ce groupe a réuni la rédactrice en chef d’ Archimag , Clémence Jost, un représentant de notre agence de communication éditoriale, ACE, un représentant de Serda Conseil et enfin un représentant de Serda Compétences. Ainsi tous les métiers étaient représentés. Comme nous le faisons habituellement, nous avons élaboré une note de cadrage, un PQP (Plan Qualité de Projet), et défini des livrables.

Nous avons rapidement identifié les opportunités fantastiques que les IAG pouvaient offrir, tout en mettant en lumière les craintes qu’elles pouvaient susciter parmi les professionnels de l’information, qui sont nos clients, ainsi que dans la société plus largement. Nous avons également évalué l’impact potentiel sur les divers métiers présents dans notre entreprise : les formateurs, les consultants, les journalistes, les rédacteurs, les commerciaux et le marketing.

Pour mieux comprendre ces enjeux, nous avons jugé essentiel de nous former. La formation est le meilleur moyen d’affiner nos craintes, d’y remédier si possible, et d’identifier les opportunités. Nous avons donc mis en place un vaste programme, adapté à chaque métier. Il est essentiel que le formateur soit un spécialiste du domaine, sinon la formation perd de sa pertinence.

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L’évolution des IA conversationnelles : révolution de la recherche web, intégration professionnelle et personnalisation par la mémoire

Anne-Marie LIBMANN
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Créé le
mardi 17 juin 2025
109
Tags
ChatGPT | Bing | recherche Web | Google | actualités | IA
L’évolution des IA conversationnelles : révolution de la ... Image 1
L’évolution des IA conversationnelles : révolution de la ... Image 1

Une nouvelle révolution de la recherche sur le Web ? Quand l’IA de Claude outille les développeurs pour réinventer la recherche web.

La mutation de la recherche Web traditionnelle sous l’impulsion de l’IA prend des formes multiples.

Cette mutation s’est traduite par une profusion d’innovations, qui illustrent la dynamique actuelle de l’IA appliquée à la recherche d’information :

● Les géants s’adaptent : Google et Bing, mais aussi des acteurs plus discrets comme you.com ou Brave, intègrent l’IA pour améliorer la pertinence de leurs résultats.

● L’essor de nouveaux moteurs : des outils « natifs IA » comme Perplexity AI, ou plus spécialisés comme Felo, Genspark et Andi, repoussent les limites de la recherche traditionnelle.

● Des extensions dopées à l’IA : Wiseone, Monica et d’autres facilitent l’accès à l’information directement dans votre navigateur.

● Les modèles de langage en action : OpenAI, Claude, Grok et leurs semblables embarquent des fonctions de recherche avancée (Deep Research) pour des réponses plus riches.

Mais un autre changement, moins visible et potentiellement plus disruptif, se dessine: les utilisateurs peuvent désormais personnaliser leur expérience de recherche selon leurs besoins spécifiques. On sort de la logique uniforme des moteurs de recherche traditionnels.

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Le danger des articles de recherche médicale frauduleux

 François LIBMANN
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Créé le
lundi 16 juin 2025
104
Tags
littérature scientifique | ist | information scientifique et technique | fake news | biomédical
Le danger des articles de recherche médicale frauduleux Image 1
Le danger des articles de recherche médicale frauduleux Image 1

En 2009 les lignes directrices de la société européenne de cardiologie recommandaient l’usage des bêta bloquants pour protéger le cœur lors d’opération non cardiaque. Ces lignes directrices étaient déduites d’une série d’études menées depuis 1999. Ces directives ont été modifiées en 2013 à la suite d’une « expression of concern » publiée dans L’European Heart Journal recommandant que ces lignes directrices ne dussent plus être appliquées en routine, mais faire l’objet d’une analyse au cas par cas.

En effet, un article publié en 2014 “ Meta-analysis of secure randomised controlled trials of β-blockade to prevent perioperative death in non-cardiac surgery “ de Bouri, S., Shun-Shin, M. J., Cole, G. D., Mayet, J. & Francis, D. P. Heart 100 , 456-464 (2014). a remis drasti­quement en cause les essais réalisés par l’organisme néerlandais DECREASE qui constituaient le socle de ces lignes directrices. Les auteurs ont utilisé pour cela une autre série d’études considérées, elles, comme sûres, réalisées sur un total de 10 529 patients. Les résultats ont montré que l’application des directives de 1999 augmentait la mortalité à 30 jours de 27 %. Les auteurs ont donc recommandé d’abroger sans délai les recommandations de 1999. D’autres auteurs ont considéré que ces mauvaises lignes directrices étaient responsables de jusqu’à 10 000 décès par an au Royaume-Uni.

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Les « zombie papers », ces articles rétractés mais toujours cités

François LIBMANN
Créé le
mercredi 28 mai 2025
371
Tags
fake news
Les « zombie papers », ces articles rétractés mais toujours ... Image 1
Les « zombie papers », ces articles rétractés mais toujours ... Image 1

Le blog Retractation Watch existe depuis 2010 et recense plus de 59 000 articles rétractés. Sa notoriété va grandissant d’autant qu’il a récemment été acquis par CrossRef.

La rétractation d’un article peut être due à différentes raisons telles que fabrication de données, manipulation des résultats, plagiat, erreurs méthodologiques, manipulation d’images, manquements éthiques…

On en parle de plus en plus, car on est dans la problématique plus générale de fake news, sujet très « tendance ».

Un problème majeur réside dans le fait que le retrait d'un article n'empêche pas celui-ci de continuer à être cité, ce qui contribue à la diffusion de résultats erronés, fausse les résultats des méta-analyses et peut également avoir un impact négatif sur les politiques publiques ou la pratique clinique.

Marc Joëts et Valérie Mignon ont publié un long (50 pages) document de travail sur le temps qu’il fallait pour « tuer « un zombie paper.

Ils sont partis d’un ensemble de 25 480 articles de recherche rétractés sur la période 1923-2023 issus de « Retractation Watch ». Leur conclusion est que quand un article est rétracté, c’est en moyenne 1 045 jours, soit près de trois ans, après sa publication. 

Cette moyenne cache des disparités importantes, en effet, les pays d’Europe de l’Ouest et d’Amérique du Nord sont en général plus rapides que ceux d’Asie, d’Amérique du Sud et d’Europe de l’Est.

Mais la rétractation d’un article n’a pas pour conséquence automatique que l’article cesse d’être cité. 

Si l’on prend deux cas extrêmes, les auteurs citent une étude sur le Covid-19, publiée en mai 2020 et rétractée en juin 2020, donc particulièrement rapidement, qui a été citée 1 872 fois à la date du 6 février 2025. Un autre exemple est issu du site Retractation Watch. Un article publié dans The Lancet en février 1998 et rétracté en 2010 a été cité 734 fois avant la rétractation, mais 1 007 fois après.

C’est donc un vrai problème.

Lire tous nos blogs sur le sujet des articles rétractés :

Quels sont les champions des articles retractés ? (février 2025)

Les articles rétractés sont très peu signalés dans les archives ouvertes (janvier 2025)

Quand la course à la publication menace la qualité scientifique : le cas Hindawi et la rétractation record de 2022 (decembre 2024)

14 000 articles retractés sur arXiv depuis 1991: WithdrarXiv  les analyse (decembre 2024)

Quelles perspectives pour le veilleur à l'heure de pratiques prédatrices de son temps et de son discernement ?

CORINNE DUPIN, Consultante du cabinet Ourouk
Bases no
435
Créé le
mardi 20 mai 2025
535
Tags
IA | professionnel de l'information
Quelles perspectives pour le veilleur à l'heure de ... Image 1
Quelles perspectives pour le veilleur à l'heure de ... Image 1

L’avenir du métier de veilleur est assuré… pour peu qu’il joue à plein sa fonction d’éclaireur, garant du pluralisme et apôtre du temps long.

Récemment invitée à m’exprimer sur l’avenir du métier de veilleur devant une communauté de praticiens de la veille, je me suis souvenue d’avoir été sollicitée sur le même sujet il y a une dizaine d’années (1). Il faut croire que tous les 10 ans environ, une évolution technologique vient perturber le quotidien professionnel et la sérénité des veilleurs.

A l’époque, les préoccupations portaient sur les flux RSS (en passe de submerger le quotidien du veilleur et de l’aliéner au temps réel), la démocratisation de la curation (qui allait de pair avec la quête d’autonomie des usagers/clients), le règne de la conversation à l’heure des réseaux sociaux. Aujourd’hui, l’inquiétude est plutôt le fait de l’irruption des IA génératives avec l’avènement soudain, horizontal et gratuit, de ChatGPT.

Il y a 10 ans, je considérais déjà l’activité de veille comme une activité en mutation, qui s’orientait résolument vers l’accompagnement, le conseil, le transfert méthodologique. Il était de la même façon question de « destruction créatrice » (applicable aux usages comme aux métiers) promise par le numérique. Les réseaux sociaux sont toujours là, prêts sans désemparer à nous soumettre, si nous n’y prenons garde, à un régime d’alertes permanentes et à une réactivité maximale. La donne actuelle est complétée par la multiplication des contenus trompeurs (fake news, faux journaux scientifiques, revues et congrès prédateurs (2)…). Des conférences récentes, notamment à l’occasion de Documation, s’interrogent sur l’avenir des métiers de l’information, de l’intelligence économique et de la connaissance face à ces nouveaux défis et invitent à leur « réinvention » (quand la plupart des intervenants à la tribune ont préféré minimiser les efforts à produire en ne parlant que d’adaptation…).

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Préprints biomédicaux : bioRxiv et medRxiv intègrent openRxiv, une structure de gouvernance indépendante

François LIBMANN
Bases no
435
Créé le
mardi 20 mai 2025
429
Tags
science ouverte | open access | littérature scientifique | ist | information scientifique et technique | biomédical | abstracts
Préprints biomédicaux : bioRxiv et medRxiv intègrent ... Image 1
Préprints biomédicaux : bioRxiv et medRxiv intègrent ... Image 1

L’écosystème des préprints dans le domaine biomédical connaît une évolution majeure avec la création d’openRxiv, une structure indépendante à but non lucratif destinée à piloter et développer les serveurs de préprints bioRxiv et medRxiv. 

Ces deux plateformes publient les articles scientifiques qui leur sont soumis dès que leurs auteurs les jugent comme terminés, sans attendre une peer review pour décider de la publication dans le journal auquel ils auraient été envoyés. En effet, les délais avant décision peuvent atteindre plusieurs mois et parfois dépasser un an.

● bioRxiv a été créé en 2013 et propose aujourd’hui environ 274 000 documents écrits par 970 000 auteurs, et 4 000 nouveaux documents sont ajoutés chaque mois.

● Pour sa part, medRxiv a été créé en 2019 et propose aujourd’hui près de 66 000 documents écrits par plus de 380 000 auteurs, et 1 000 nou­veaux documents sont ajoutés chaque mois.

Ces deux plateformes ont joué un rôle important pendant la pandémie de COVID 19 au cours de laquelle la diffusion rapide de l’information scien­tifique a été cruciale.

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Crise de reproductibilité : quand la science peine à confirmer ses propres résultats

François LIBMANN
Bases no
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Créé le
mardi 20 mai 2025
511
Tags
protocole | méthodologie | ist | information scientifique et technique
Crise de reproductibilité : quand la science peine à ... Image 1
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Un constat alarmant sur les méthodes de recherche

Un article publié en décembre 2021 a provoqué une onde de choc dans la communauté scientifique (1). Consul­té plus de 20 400 fois, téléchargé près de 2 000 fois et ayant fait l’objet de 141 citations à ce jour, cette étude révèle un problème fondamental dans la recherche scientifique.

Les chercheurs ont tenté de reproduire 193 expériences décrites dans 53 articles à fort impact, dont les protocoles et plans d’analyse avaient été validés par des pairs avant leur publication. Le résultat est préoccupant : seules 50 expériences (26 %) issues de 23 articles (43 %) ont pu être reproduites. Plus troublant encore, 32 % des auteurs contactés ont refusé de répondre ou sont restés silencieux face aux demandes de précisions.

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Comment échapper aux conférences prédatrices dans le domaine scientifique

FRANÇOIS LIBMANN
Bases no
435
Créé le
mardi 20 mai 2025
608
Tags
Reddit | information scientifique et technique | ist | conférences salons | agenda
Comment échapper aux conférences prédatrices dans le ... Image 1
Comment échapper aux conférences prédatrices dans le ... Image 1

Les conférences sont un des vecteurs essentiels de diffusion de l’information scientifique et académique. Ce canal présente un intérêt particulier, car il est fréquent que des conférences soient le cadre de la divulgation de nouvelles théories ou de résultats expérimentaux récents.

Si l’on fait déjà partie d’un milieu scientifique bien défini, il y a toutes les chances que l’on soit informé personnellement des prochaines conférences et/ou de les voir signalées dans les publications spécialisées de ce domaine.

Mais pour les personnes qui ne sont pas dans ce cas de figure, qu’elles s’intéressent à un domaine moins familier ou qu’elles soient en début de carrière, se pose la question de l’identification de conférences potentiellement intéressantes.

C’est là que cela se complique.

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SLA : la disparition annoncée d’un pilier américain de l’information

Francois LIBMANN
Créé le
vendredi 16 mai 2025
469
SLA : la disparition annoncée d’un pilier américain de ... Image 1
SLA : la disparition annoncée d’un pilier américain de ... Image 1

La Special Libraries association (SLA), a annoncé avoir entamé sa dissolution dont le processus prendra fin en avril 2026. Cette démarche a pour but d’éviter une faillite pure et simple, en gardant le contrôle des opérations.

C’est une perte très significative pour les professionnels nord-américains de l’information, tant cette association avait un rôle central. C'est aussi un symbole qui va disparaître pour la profession toute entière dans le monde de l'information.

La SLA a été créée aux États-Unis en 1909 et ne compte plus aujourd’hui qu’un peu plus de 1 000 membres dont certains non-américains.Nous avons pu retrouver que le nombre de membres avait même dépassé les 14.000 en 1993-94.

Cette dissolution est due à plusieurs facteurs d’après l’association elle-même  :

  • la baisse continue du nombre d’adhérents, particulièrement au cours de cette dernière décennie
  • plus généralement la baisse du nombre de centres de documentation à partir des années 2000
  • la découverte de l’existence de problèmes mal pris en compte sur les retraites d’anciens salariés et un paiement non provisionné à un fournisseur de données

Kent Anderson qui publie la newsletter électronique The Geyser apporte des éléments complémentaires : 

  • les conséquences de la pandémie qui ont fait apparaitre qu’un organisme pouvait à peu près fonctionner sans la présence de documentalistes
  • des révisions coûteuses des structures de gestion il y a une dizaine d’années lorsque l’association s’est séparée de certains cadres (ce qui a entrainé des indemnités de départ) et fait appel à une société de gestion externe qui a facturé jusqu’à l’an dernier 1,3 million de dollars par an, y compris pendant la pandémie. SLA est passée récemment à une option moins coûteuse, économisant environ 1,1 million de dollars
  • des frais généraux apparemment élevés durant plusieurs années

Cet événement marque une étape dans la transformation profonde du monde de l’information, bouleversé par les innovations technologiques successives, face auxquelles l'adaptation est un enjeu crucila et complexe.

On trouvera les FAQ les plus récentes ici.

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