Pour doper au maximum ses performances de recherche sur le Web, nous conseillons de suivre, pour s’en inspirer, trois types de spécialistes du Web auxquels on ne pense pas en général : les experts du référencement (SEO), de l’OSINT (open source intelligence) et du Google Dorking (ou Google hacking).
Nous avons examiné et confronté leurs recommandations et découvertes, et livrons dans cet article la liste des opérateurs qui marchent le mieux sur Google, ainsi que les requêtes que l’on peut construire de façon originale, et dont on peut s’armer quand on cherche des choses «introuvables»…
Il est acté, parmi les veilleurs et professionnels de l’information aguerris, que les bases de données payantes constituent des outils de premier choix, tant en raison de la richesse de leurs contenus que des langages de requêtes intégrés, conçus précisément pour assurer la meilleure performance de recherche.
Pour ce public exigeant, le Web a néanmoins acquis progressivement un statut d’outil tout autant indispensable, grâce à des ressources, au sens premier et figuré, inestimables.
Très éloignée des autres présentations, celle de Dawn Anderson, spécialiste du SEO (Search Engine Optimization) était néanmoins intéressante dans la mesure où elle faisait écho à ce que vivent les professionnels de l’information.
Le monde du SEO et de ceux qui développent les moteurs sont des mondes avec très peu de connexions.
Le SEO est encore trop souvent perçu par les informaticiens comme des personnes qui manipulent les résultats de recherche et sont souvent associés à l’image du spam.
Pourtant, les professionnels du SEO s’intéressent de plus en plus aux articles de recherche produits par ceux qui développent les moteurs pour comprendre les principaux concepts et évolutions, même s’ils ne disposent pas des compétences nécessaires pour comprendre les éléments les plus techniques.
Dans une société noyée sous les informations, la datavisualisation est une forme de valorisation de données de plus en plus appréciée par les professionnels. Elle permet au sein d’une entreprise d’exploiter «l’intelligence» des données brutes et de simplifier leur compréhension immédiate.
Les dataviz : des concepts et types de visuels très différents :
Infographie : Elle comprend les termes « information » et « graphique » et schématise des données. Elle est majoritairement utilisée pour représenter des processus ou des chiffres clés (voir par exemple l’infographie de FLA sur la veille concurrentielle : https://www.fla-consultants.com/fr/veille/veille-concurrentielle) [...]
La veille appliquée à l’image des entreprises et de leur réputation existe depuis des années et s’est amplifiée avec l’essor des médias sociaux. Au-delà du social media listening classique qui continue d’évoluer, il existe également d’autres formes de veilles liées à l’image des entreprises qu’il ne faut pas négliger.
C’est justement ce qu’ont montré les différents intervenants de la table-ronde « Social listening, e-réputation, surveillance des médias sociaux et du dark web : quel dispositif fiable pour surveiller les informations issues des médias sociaux et du web ? »