La Bibliothèque de Science Po a ouvert 130 listes thématiques Twitter au public. Une vraie aubaine pour les veilleurs qui pourront saisir cette opportunité pour étoffer leur sourcing . Parmi les sujets traités dans ces listes, on citera : Economie Numérique, Histoire de l'art, Energie, Ukraine, Infos-Afrique, Ressources Naturelles, Think Tank etc...
On pensera à aller explorer les sources web correspondantes pour les intégrer à son dispositif de veille quel qu'il soit.
En passant par Google Chrome, entrez simplement les requêtes suivantes en modifiant le mot-clé avec vos sujets d'intérêt (ici par ex : climat et smart city, respectivement dans le titre ou l'url)
Twitter est une source d’information incontournable pour le professionnel de l’information : qu’il s’agisse de réaliser une veille métier, un sourcing thématique, un premier tour d’horizon sur un sujet, une veille concurrentielle, Twitter apporte quasi systématiquement une valeur ajoutée à la recherche d’information et à la veille.
Contrairement à la plupart des autres réseaux sociaux, Twitter a l’immense avantage de proposer des fonctionnalités de recherche dignes de ce nom, qui permettent d’explorer efficacement les contenus qu’il renferme.
Pourtant, il arrive que les fonctionnalités proposées ne soient pas suffisantes pour arriver au résultat souhaité. Il faut alors tester différentes méthodes, ruser ou trouver des outils externes qui comblent ces lacunes.
Twitter va intégrer également de nouvelles fonctionnalités et services, gratuits cette fois-ci, qui ne sont pas sans rappeler ce qui se fait et ce qui fonctionne actuellement sur d’autres réseaux sociaux :
Twitter apporte aujourd’hui une réelle valeur ajoutée à la veille et la recherche d’information.
D’une part parce qu’on y trouve des contenus de grande qualité repérés et parfois produits par des experts.
D’autre part car la plateforme est conçue pour permettre aux utilisateurs de rechercher efficacement sur les richesses qu’elle contient.
Mais est-ce-que cela pourrait changer dans un avenir proche ?
Twitter vient d’annoncer plusieurs grandes nouveautés qui font la part belle au payant. Et cela pourrait bien faire évoluer les usages pour la veille et la recherche d’information.
Treeverse facilite la visualisation d'un tweet et notamment l'ensemble des interactions liées à ce tweet. En vous plaçant sur la publication que vous souhaitez analyser, l'app génère en un clic une représentation graphique interactive de tous les profils ayant réagi avec le tweet.
Le : les couleurs des lignes entre les profils indiquent le temps écoulé entre les deux tweets. Le code couleur varie du rouge (<5 min) au bleu (>3h). Cette extension offre une représentation plus intelligible d'un fil Twitter et est très pratique à insérer dans un livrable client ou pour un bilan média.
Twitter est aujourd’hui le réseau social le plus utile dans un contexte de veille et de recherche d’information professionnelles. Il est également celui qui propose les fonctionnalités de recherche les plus abouties et les plus en adéquation avec les besoins des professionnels de l’information.
Pour autant, Twitter n’intègre pas (du moins pas encore) toutes les fonctionnalités utiles dans un contexte de veille ou de recherche, même si de nouvelles options sont régulièrement ajoutées. Il faut donc faire appel à de petits outils externes souvent gratuit ou freemiums pour répondre à certains besoins d’information.
Dans cet article :
Nous présenterons ce qui fait aujourd’hui la force de la plateforme de Twitter pour la veille et la recherche d’information ;
Nous analyserons les nouvelles fonctionnalités ajoutées à la plateforme au cours des derniers mois et celles qui sont annoncées : nous évaluerons leur intérêt pour les professionnels de l’information ;
Enfin, nous proposerons un panorama des principaux outils externes à connaître pour optimiser ses recherches et ses veilles lorsque la plateforme de Twitter elle-même n’est pas en mesure de remplir ce rôle.
Twitter reste plus que jamais l’un des piliers majeurs de tout processus de veille.
Avec ses 320 millions d’utilisateurs et ses 500 millions de tweets quotidiens, le réseau social offre une extraordinaire masse de données que tout veilleur cherche à capturer.
De plus, la possibilité d’obtenir un accès aux positions et ressentis d’experts, de journalistes, d’hommes politiques ou de célébrités offre au veilleur la perspective de mettre la main sur des informations que l’on ne peut trouver nulle part ailleurs.
A l’automne 2015, Twitter a ouvert au grand public son outil de curation de contenu appelé -sans grande originalité- Curator (qui n’a absolument rien à voir avec l’outil de curation français El Curator).
L’outil déjà accessible à une poignée de professionnels depuis mai 2015, a pour ambition de répondre à un besoin majeur des professionnels de l’information : la possibilité de mettre en place des requêtes complexes afin de pouvoir trouver l’information pertinente sur Twitter et de la diffuser ensuite.
La guerre entre Google et la presse ne semble pas être terminée, du moins pas en Allemagne. Un groupe d’éditeurs allemands a déposé une plainte en janvier dernier contre le géant américain. Il lui reproche de ne pas respecter la loi sur le copyright des éditeurs de presse « Leistungsschutzrecht für Presseverleger » votée en 2013 en Allemagne. Cette loi prévoit de faire payer les moteurs de recherche et agrégateurs d’actualités dès lors qu’ils affichent des articles de presse (même une partie seulement) dans leurs résultats.
Jusqu’à présent, Google proposait plusieurs API autour de la recherche permettant ainsi aux développeurs d’utiliser et d’intégrer certains services de Google à d’autres sites et applications. Mais à partir du 15 février prochain, Google a annoncé la fermeture des API suivantes : recherche brevets, Google News, recherche dans les blogs, recherche vidéos, recherche images
Etonnant
Le « 2016 Edelman Trust Barometer », un sondage mené par la société Edelman a récemment montré que 60% des personnes sondées (33 000 personnes dans 28 pays différents) faisaient plus confiance aux informations publiées dans Google News qu’aux mêmes actualités publiées sur les sites des journaux.